Révolution Pastaga

🌞 🎶 Révolution Pastaga est là ! 🎶 🌞

La bande-son des apéros entre amis débarque ! 🍻 Venez découvrir Révolution Pastaga, l’album qui sent bon le comptoir de quartier, les glaçons rebelles et la bonne humeur du Sud ! On se refait le monde un verre à la main, on trinque à tout et on balance des glaçons… Mais surtout, on rigole bien ! 😜

Le clip Révolution Pastaga

Playlist

Le chichi de l'estaque

"Le Chichi" est une chanson pleine d’humour qui raconte, sous forme de métaphores et de récits croustillants, l’attachement des Marseillais à leur célèbre beignet : le chichi. À travers des personnages hauts en couleur – Ninon, le curé, le marin mystérieux et la gagole gourmande – cette chanson navigue entre anecdotes savoureuses et leçons de vie. Elle nous rappelle les spécialités locales qui, partout dans le monde, font sourire et rassemblent. C’est une ode aux plaisirs simples, au folklore provençal, et à l'esprit taquin de Marseille, là où même les histoires de chichis prennent une saveur de fable.

Mireille

Cette chanson raconte l’histoire de Mireille, une figure emblématique et libre de Beaucaire, connue pour ses charmes et ses secrets bien gardés. Au cœur de ce village provençal, elle offre réconfort et bonne humeur aux habitants. Mireille incarne un esprit généreux, ranimant les passions et veillant sur ceux qui traversent des moments de tristesse. Avec sa lumière allumée, elle symbolise un phare dans la nuit, un soutien pour tous ceux qui croisent son chemin.

Le marché de la belle de mai

Cette chanson nous plonge dans l’ambiance vibrante et colorée du marché de la Belle de Mai, où se côtoient des Rolex à deux euros, des pickpockets manchots, et des personnages hauts en couleur. C’est un lieu de rencontre où se mêlent les odeurs d’épices, les amoureux, les poivrots, et les flics, un endroit qui respire la diversité et l’énergie de Marseille. Sous le regard de Jean Moulin, le perroquet bavard, et au son de Massilia, le marché devient un voyage autour du monde sans quitter la ville. Entre cacous, cagoles et produits locaux, tout le quartier s’y retrouve, faisant du marché un véritable spectacle populaire.

Fatchoumaco

Fatchoumaco dresse le portrait décalé et attachant de Johnny, un rêveur provençal au style cowboy. Né au pays des panisses, de l’aïoli et des cigales, il arpente les rues en santiags, rêvant d’Harley et de whisky. Entre sa ceinture Harley, ses santiags en crocodile et sa chambre décorée de souvenirs militaires, Johnny vit une vie de biker fantasmée, bien qu’il soit encore chez sa maman. Avec ses tatouages mal réalisés et ses histoires de bagarres, il incarne l’esprit libre et fantasque de la Provence, dans un hommage drôle et tendre aux petits héros du quotidien.

Va Savoir

Un hommage vibrant et humoristique à Marseille et à ses habitants, un portrait plein de fierté et d’exagération à la marseillaise. La chanson explore les clichés avec ironie, célébrant l’amour passionné, la solidarité des quartiers, l’accent chantant, et les traditions ancrées entre le Vieux Port et la Bonne Mère. C’est une déclaration d’identité : être Marseillais, c’est aimer sans retenue, philosopher fort, et vivre fièrement ses racines. Entre humour, soleil, et accent, "Va Savoir" capture l’essence d’une ville où chaque habitant se sent comme chez lui et où la joie de vivre est élevée au rang de religion.

Mèfi

L’âme marseillaise, chaleureuse, mais fièrement protectrice de ses traditions. Entre cigales, mistral, pastis, et panisse, elle invite à découvrir la culture locale tout en rappelant avec humour de respecter les symboles et les coutumes de la région. Que ce soit autour de la statue de Giono, dans les virages du stade, ou sur les étals du Vieux-Port, l’hospitalité marseillaise est généreuse mais pleine d’avertissements affectueux – "méfi !" À Marseille, on est bienvenu, mais il faut aimer l’aïoli et comprendre l’esprit local, sous peine d’un léger "méfi !"

Ecolo-gît

"Ecolo...Gît" dénonce avec ironie les ravages de la pollution et de la consommation moderne sur la santé et l’environnement. Avec des paroles qui contrastent apéros et pesticides, elle met en lumière l’absurdité d’une société où respirer devient plus dangereux que de boire un pastis. Les thèmes abordés vont des impacts de l’industrie aux dégradations des écosystèmes, et la chanson rappelle que ni la science ni la technologie ne pourront remplacer les éléments essentiels de la nature. Un cri d’alerte amusé mais mordant, pour rappeler qu’il n’y a rien de plus vital que de préserver notre planète.

Skanabière

La chanson "Skanabierre" explore avec humour l'attachement des Marseillais à la convivialité et à la "ganga populaire". Avec un ton décalé, elle compare l’amour pour le pastis à celui pour la "Marie-Jeanne" et imagine un monde où le cannabis serait taxé comme l’alcool. Le texte se moque des clichés et souligne l’idée de partage et de lien social autour de ce rituel informel, quel que soit le milieu social. En filigrane, elle défend la légalisation, se moquant gentiment des institutions et affirmant que "la cana" pourrait même rapprocher l’amitié dans le quartier et bien au-delà.

Révolution Pastaga

"Révolution Pastaga" célèbre l’art de refaire le monde autour d’un verre, dans les bars de quartier où chacun devient philosophe. Entre amis et collègues, on lance des glaçons comme des pavés, trinque au chômage et à la pollution, et discute passionnément des grandes questions de la vie. Ce morceau capture l’esprit des « ingénieurs de comptoir » et des « psychiatres d’apéros », ces figures locales qui, chaque soir, trouvent des solutions et soignent les maux avec humour et convivialité. Un hommage décalé à l’amitié, à la critique sociale et au charme intemporel de l’apéro marseillais.

Dossier de presse